Il l’a finalement fait : le gouverneur Hans Peter Doskozil défie le chef du parti SPÖ, Rendi-Wagner. Mais qu’est-ce que cela signifie pour le Burgenland ?
L’enquête auprès des membres du SPÖ aura probablement lieu en mai, ce qui devrait au moins montrer la voie vers l’avenir en termes de personnel. La dirigeante de longue date du parti, Pamela Rendi-Wagner, pourra-t-elle conserver son poste fragile ou le gouverneur Doskozil dirigera-t-il les sociaux-démocrates lors des prochaines élections nationales ? Quoi qu’il en soit, dans le Burgenland, on se demande déjà qui pourrait succéder à Doskozil.
Rendi ou Dosko – tant de gens se tiennent vraiment derrière eux
La spéculation commence maintenant et s’accélérera probablement au fur et à mesure que le vote se rapproche et donc la possible démission de Doskozil en tant que gouverneur. En 2019, l’ancien ministre et directeur de la police d’État a suivi le vétéran Hans Nissl et dirige un gouvernement unique du SPÖ depuis la victoire électorale de 2020. Son nouvel objectif est clair : il veut devenir chancelier.
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Certainement toujours en fonction l’année prochaine
S’il remportait le vote contre Rendi-Wagner et devenait effectivement président du parti fédéral SPÖ et premier candidat, il devrait informer le parlement de l’État par écrit s’il devait démissionner de son poste de gouverneur. Son successeur serait alors à son tour réglementé par le parlement de l’État.
Doskozil a promis une telle approche dans «Burgenland Today» jeudi, mais a également freiné: la discussion de suivi est actuellement «hypothétique». « Maintenant, nous allons une étape à la fois. Je suis toujours gouverneur, cette année je resterai définitivement gouverneur et l’année prochaine », a déclaré le social-démocrate.
Officiellement pas un problème
Les discussions et les délibérations se poursuivront certainement en coulisses, mais les membres de son gouvernement ne veulent pas non plus commenter publiquement. La sous-gouverneure Astrid Eisenkopf (SPÖ) ne souhaite pas participer à une discussion de personnel à la demande de l’ORF. Le même message a été répété vendredi par les conseillers d’Etat Heinrich Dorner et Leonhard Schneemann, ainsi que par le patron du club SPÖ, Robert Hergovich.
La détermination du successeur ne pouvait qu’être compliquée au sein du parti. Au parlement du Land, en revanche, le SPÖ dispose de la majorité absolue avec 19 sièges sur 36. Selon le règlement intérieur, une majorité simple suffit pour l’élection du gouverneur de province, tandis qu’au moins la moitié des mandataires doivent être présents.
Balises : Spéculations Doskos successeur complet swing politique
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