Ce processus a trouvé des obstacles au Congrès et au pouvoir exécutif pour se matérialiser efficacement.
L’une des propositions les plus attendues est celle qui supprime trois taxes fédérales – IPI, PIS et Cofins ; et éteint également l’ICMS, qui est étatique, et l’ISS, municipale.
A leur place, l’Impôt sur les Opérations avec Biens et Services (IBS) devrait être créé, sous la juridiction des municipalités, des états et de l’Union, en plus d’un autre impôt, sur des biens et services spécifiques. Cela relève uniquement de la compétence fédérale.
Les données de l’Impostômetro, un panneau installé par l’Association commerciale de São Paulo (ACSP) dans la région centrale de la capitale de São Paulo, révèlent que le montant collecté auprès des gouvernements fédéral, étatique et municipal – y compris les frais, les contributions, les amendes, les intérêts et la correction monétaire ont montré que les contribuables brésiliens ont payé en 2022, 2 890 489 835 290,32 R$ d’impôts.
En 2021, le même panel a enregistré environ 2,6 billions de BRL. L’augmentation d’une année sur l’autre a été de 11,5 %, un volume considérable pour une année post-pandémique extrêmement difficile et éprouvante, d’un point de vue économique.
Les données ci-dessus montrent le besoin urgent de réformes structurelles pour réduire le fardeau fiscal, comme moyen de parvenir à la justice fiscale.
C’est parce que notre fardeau fiscal continue d’être élevé par rapport aux normes d’un pays émergent. La réforme administrative et la maîtrise des dépenses publiques sont donc quelques-uns des moyens de réduire la charge fiscale.
Récemment, le vice-président de la République et ministre du Développement, de l’Industrie, du Commerce et des Services, Geraldo Alckmin, a déclaré aux dirigeants industriels brésiliens qu’il considérait la réforme fiscale comme une question urgente et, pour lui, le premier vote devrait avoir lieu au premier semestre de l’année. cette année.
Le secteur du tourisme et de la restauration hors foyer accueille cette nouvelle avec enthousiasme, car il s’agit d’un enjeu d’une extrême importance pour la croissance du pays.
Mais, je signale qu’il faut faire attention à cet agenda et que le gouvernement cherche à être juste quant à l’ampleur de l’augmentation de la pression fiscale sur le secteur des services, qui, qui correspond à 37 % de la main-d’œuvre au Brésil et a généré 55 % des emplois formels du pays dans la reprise de l’économie après la pandémie.
Je suis en faveur d’une réforme fiscale juste et équilibrée. Il ne fait aucun doute que le renforcement de notre économie passe invariablement par la réduction du coût du Brésil et l’amélioration de l’environnement des affaires dans le pays.
Dans ce contexte, la réforme fiscale est une voie sans retour et de plus en plus nécessaire au maintien de nos entreprises, ainsi qu’à l’émergence de nouvelles.
* Alexandre Sampaio est président de la Fédération brésilienne de l’hébergement et de la restauration (FBHA).
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