Donald Trump | Le procureur des États-Unis conclut que l’ancien président n’aurait pas dû faire l’objet d’une enquête pour le «complot russe» en 2016 | Russie | FBI | John Durham | Guillaume Barr | Robert Muller | MONDE

Donald Trump | Le procureur des États-Unis conclut que l’ancien président n’aurait pas dû faire l’objet d’une enquête pour le «complot russe» en 2016 | Russie | FBI | John Durham | Guillaume Barr | Robert Muller | MONDE
Donald Trump | Le procureur des États-Unis conclut que l’ancien président n’aurait pas dû faire l’objet d’une enquête pour le «complot russe» en 2016 | Russie | FBI | John Durham | Guillaume Barr | Robert Muller | MONDE

le procureur spécial Jean Durham a conclu que le FBI n’aurait pas dû ouvrir d’enquête sur l’implication présumée de la campagne de l’ancien président américain. atout de donald (2017-2021) et Russie aux élections de 2016, dans un rapport publié ce lundi après 4 ans d’enquête.

Dans le rapport, de plus de 300 pages, Durham indique que le FBI informations de renseignement utiliséesnon fondé, non traité, non analysé» pour lancer des enquêtes sur l’équipe de campagne de Trump et ses éventuels liens avec Russie.

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Durham a été nommé en 2019 par le procureur général de l’époque, Guillaume Barrpendant le mandat de Trump pour examiner l’enquête précédente menée par l’agence fédérale sur les liens présumés entre l’équipe électorale républicaine et la Russie.

L’avocat spécial fait valoir qu’après avoir examiné l’enquête du FBI et d’autres activités de renseignement, il a conclu que “le Département (de la Justice) et le FBI n’ont pas rempli leur mission de stricte fidélité à la loi, en lien avec certains événements et activités décrits dans ce rapport”.

Durham souligne dans le texte que les responsables du FBI ont montré “une grave absence” de rigueur analytique dans le traitement des informations qu’ils ont reçues, notamment celles relatives aux personnes et entités ayant des affiliations politiques.

En somme, le traitement par le FBI de plusieurs questions clés dans cette affaire était «sévèrement déficient», selon le procureur spécial, qui a estimé que ce manquement à sa responsabilité envers le public a causé un «de graves dommages» à la réputation de l’agence.

En son temps, Barr a ouvert cette enquête après l’insistance de Trump sur le fait que sa campagne avait fait l’objet d’espionnage avant les élections de 2016 par les services de renseignement américains, sous les ordres du président de l’époque, Barack Obama.

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De cette façon, le Département de la justice il a enquêté lui-même, puisque ce supposé espionnage aurait été mené par le FBI, une agence avec laquelle Trump était très critique depuis son arrivée au pouvoir.

Avec cette enquête, Trump avait l’intention d’aller au fond de l’enquête sur le soi-disant “complot russe” dirigé par robert müllerqui l’a tourmenté pendant les deux premières années de sa présidence et qui s’est terminé en mars 2019 par la conclusion que ni lui ni personne de son entourage n’ont travaillé avec le Kremlin pour gagner les élections de 2016.

Après la publication du rapport, la réaction de Trump a été rapide et dans un message sur son réseau social, Véritél’ex-président a affirmé que les Américains ont été «arnaqué”.

OUAH! Après une longue enquête, le procureur spécial Jean Durham conclut que le FBI n’aurait jamais dû lancer l’enquête Trump-Russie ! En d’autres termes, le public américain s’est fait arnaquer, comme c’est le cas maintenant, par ceux qui ne veulent pas voir l’Amérique GRANDE !», a-t-il condamné.

Dans un communiqué, le FBI a assuré ce lundi que sa direction «a déjà appliqué des dizaines d’actions correctives, en cours depuis longtemps» en réponse aux comportements dénoncés par Durham.

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La note ajoute que, si “ces réformes» avait été opérationnel en 2016, les « faux pas » identifiés dans le rapport auraient pu être évités.

Depuis que les républicains ont repris le contrôle de la majorité au Caméra basse des États-Unis lors des élections de mi-mandat de novembre dernier, ont lancé des enquêtes législatives sur ce qu’ils dénoncent comme la manipulation d’agences fédérales, comme le FBI, pour les mettre au service de fins politiques.

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