Un atelier en personne et virtuel s’est tenu à Taïwan, axé sur la collaboration public-privé dans les mesures visant à contenir la pandémie et à gérer ses conséquences.
Cet événement a été organisé dans le cadre du Forum de coopération économique Asie-Pacifique (APEC) et les informations ont été fournies par le ministère de la Santé et du Bien-être social de Taiwan (MOHW).
L’atelier a été organisé par l’Administration nationale de l’assurance maladie, qui dépend du ministère de la Santé, et a réuni des responsables et des experts de diverses économies membres de l’APEC, notamment le Canada, le Japon, Singapour, la Corée du Sud et la Thaïlande, ainsi que des représentants de pays non membres. des pays comme le Royaume-Uni.
L’événement a réuni d’éminents orateurs lors de la cérémonie d’ouverture, notamment la ministre de la Santé et des Affaires sociales, Hsueh Jui-yuan, et la ministre des Affaires numériques, Audrey Tang, ainsi que d’autres autorités.
L’objectif principal de l’atelier, selon le ministère de la Santé, était de fournir une plate-forme permettant aux participants de partager des modèles innovants de soins et de traitement, en utilisant les technologies numériques de la santé. L’accent a été mis sur l’importance de garantir la confidentialité des données personnelles et la collaboration public-privé dans les cas de soins de santé complexes.
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En outre, cet événement devrait contribuer à améliorer l’adaptabilité et la résilience des systèmes de santé dans les économies membres de l’APEC. De même, il cherchera à promouvoir les échanges politiques entre Taiwan et ses homologues de l’APEC dans le contexte des défis de santé publique.
Dans un contexte parallèle, plusieurs hôpitaux de Taiwan ont organisé conjointement une exposition numérique sur des sujets de santé dans le cadre des activités liées à l’atelier.
Depuis son adhésion à l’APEC en 1991, Taiwan a apporté d’importantes contributions dans divers domaines, notamment la prévention des catastrophes, la sécurité alimentaire, les technologies de l’information et des communications, le développement des petites et moyennes entreprises et l’autonomisation économique des femmes.