
—soumis en urgence par le pouvoir exécutif— se référant à la surveillance des frontières péruviennes, ainsi qu’à la gestion à distance du bureau présidentiel (chaque fois que la présidente Dina Boluarte doit se rendre à l’étranger).
Le chef de cabinet a précisé que la première proposition est le projet de loi visant à modifier la loi organique du pouvoir exécutif afin de développer la Gestion à distance du bureau présidentiel.
Cela signifie que chaque fois que le chef de l’État voyage à l’étranger, elle conserve la direction du bureau présidentiel et —par l’intermédiaire du Premier ministre, qui selon la Constitution est le porte-parole autorisé du gouvernement, est autorisé à en exercer la gestion administrative, a-t-il expliqué.
Cette mesure permettra au chef de l’Etat de remplir les obligation accordée au président par la Constitution de diriger la politique étrangère du pays, a expliqué Otarola.
Le haut responsable a souligné que cette approche est particulièrement importante dans le cadre des activités internationales auxquelles la Présidente Dina Boluarte a été invitéeainsi que la nécessité de défendre les intérêts du pays et de renforcer les relations diplomatiques.
Outre, le haut fonctionnaire a souligné que le règlement n’affecte pas la Constitution, mais développe plutôt toute la technique législative moderne liée à l’e-gouvernement. De même, Otarola a annoncé qu’il s’entretiendrait avec chaque groupe parlementaire pour présenter la portée dudit projet de loi.
D’autre part, le Le chef de cabinet ministériel a fait référence au projet de loi de réforme constitutionnelle lié à l’article 165 de la Constitution visant à garantir le soutien des forces armées à la police nationale péruvienne en matière de surveillance des frontières. En ce sens, il a indiqué que cette proposition a été bien accueillie par les membres du Bureau du Congrès.
Dernièrement, Otarola a affirmé qu’une autre question à l’ordre du jour était de demander un soutien afin que la mise en œuvre de la nouvelle Autorité nationale des infrastructures (ANIN)qui a été débattu au Parlement, peut être approuvé en session plénière.
Outre le chef de cabinet, la réunion comprenait la ministre des Affaires étrangères, Ana Cecilia Gervasi.
Étaient également présents le président du Congrès, Jose Williams Zapata, ainsi que les vice-présidents Martha Moyano, Silvia Monteza et Alejandro Muñante.